chomage au Maroc

Le taux de chômage au Maroc sous la barre des 10 pc ''du jamais vu depuis 1971

Le taux de chômage au Maroc était passé au premier semestre 2006 sous la barre des 10 pc (9,8 pc) contre 11,3 pc à la même période de l'année 2005, soit un peu plus d'un million de sans emplois, écrit l'hebdomadaire +Jeune Afrique+ dans sa dernière livraison.

Le taux de chômage au Maroc ""Du jamais vu depuis 1971, date des premières statistiques sur le marché du travail marocain"", relève la publication pour qui cette nette amélioration sur le front de l'emploi est due au lancement, il y a trois ans de la politique de grands travaux, ""chère au Roi Mohammed VI"".

Pour une fois c'est le secteur privé qui absorbe la majorité des emplois, note la revue, ajoutant que les entreprises privées ""plus attractives et plus compétitives"", offrent de meilleures garanties aux salariés.

Rappelant à cet égard que plus de 500.000 postes ont été crées au total, dont 262.000 en milieu urbain, la revue signale que cette amélioration est due au recrutement d'ouvriers dans la construction et, plus largement, d'employés non qualifiés.

Le premier rapport de synthèse de la primature sur les retombées des grands chantiers prévoyait la création de 300.000 emplois à l'horizon 2007, dont près de 106.000 dans le bâtiment et les travaux publics, soit 28,6 pc de plus qu'en 2005, précise l'hebdomadaire.

Et de citer les principaux projets qui ont permis cette amélioration sur le front de l'emploi, notamment l'aménagement des rives du Bouregreg, l'agrandissement de l'aéroport de Casablanca, le développement du réseau autoroutier et l'extension du réseau ferré.

""Au total, le ministère de l'Equipement et des transports a mobilisé près de 50 milliards de dh pour étendre et moderniser les réseaux d'infrastructures"", note le magazine, ajoutant qu'avec un investissement de 16 milliards de dh, le projet Tanger-Med est l'un des plus ambitieux dans le Royaume.

MAP
Lundi 28 Août 2006

Merci Mr khalid , pour note expérience et tant que chercheurs d'emploi , nous avons constater qu'il ya beaucoup d'offres au niveau des grandes villes( Casa, tanger...).
le marché de l'emploi est vraiment en mouvement, avec l'implantation des nouveaux usines et firmes multifirme internationnalles.
Il faut donc acquérir de l'expérience via les stages et de renforcer votre cursus par les langues.

tout a fait raison Mr Lotfi, le probleme pour les jeunes marocains, ils cherchent plus, la plupart compte sur les autres pour avoir de job.

il faut bouger, bouger et bouger, au moins pour les stages et les formations car on les regrette jamais

Les petites surprises des chiffres du chômage
Plus on est diplômé, moins on a de chances de trouver un emploi

Les données que vient de diffuser le Haut-Commissariat au Plan (HCP) sur le marché du travail au quatrième trimestre 2005, confirment quelques tendances presque structurelles. Les deux les plus préoccupantes tiennent sans aucun doute à l’incapacité chronique de l’économie de créer des emplois (voir les chiffres dans l’article ci-contre) et à la persistance d’un chômage endémique de jeunes. Le taux de chômage des 15-24 ans (15,9%) est 4,5 points au-dessus de la moyenne nationale. Et encore! La situation est bien pire dans les villes où plus d’un jeune sur trois dans cette tranche d’âge est sans emploi, soit 33,9% de cette population. Idem pour la tranche un peu au-dessus, celle de 25-34 ans, la catégorie de la population qui regorge du plus gros contingent des sans-emploi dans le pays avec un taux de chômage de 16,5%. Elle cristallise quasiment toutes les difficultés du marché de l’emploi. Le chômage des diplômés d’universités et de l’enseignement supérieur est passé par là, mais on peut aussi y ajouter l’effet désastreux de la déperdition scolaire. On sait que sur dix étudiants qui commencent les études supérieures, un peu moins de quatre arrive jusqu’au bout. Des milliers de jeunes quittent donc le système scolaire sans aucune qualification et sont exposés au risque de chômage et à la précarité. Pendant ce temps, les promesses annoncées en grande pompe lors des Initiatives Emploi tardent à se concrétiser (voir aussi www.leconomiste.com). Rien de concret à ce jour, excepté le relèvement du seuil défiscalisé du salaire brut de 4.500 à 6.000 dirhams pour le recrutement des candidats inscrits à l’Anapec depuis six mois. L’exemption des charges sociales ne passe pas, car les concepteurs de la mesure avaient omis qu’il fallait passer par une loi. Il s’avère aussi que le diplôme (comptez à partir du baccalauréat) n’est pas du tout une assurance contre le chômage à cause d’une inadaptation des profils du produit du système éducatif aux besoins des entreprises. En gros, les chances de se retrouver sans emploi augmentent avec le niveau du diplôme. En zone urbaine, le taux de chômage des personnes ayant un diplôme -à ne pas confondre avec une qualification- est presque trois fois supérieur à celui de demandeurs d’emploi qui n’ont aucun diplôme: 27,6% dans le premier cas contre 9,7 pour le second. Au plan national, près d’un chômeur sur quatre (24,3%) est un diplômé sans emploi. A contrario, les personnes sans diplôme (ce qui ne veut pas dire forcément sans qualification) sont relativement épargnées par le chômage. Selon les statistiques du HCP, elles sont deux fois moins touchées par le chômage (5%) par rapport à la moyenne nationale. L’école est-elle encore un ascenseur social?

Cet article étudie l'impact des politiques concernant le marché du travail sur le chômage au Maroc. Il débute par un aperçu des principales caractéristiques du marché de travail. Il présente ensuite un cadre quantitatif qui capte plusieurs de ses caractéristiques, comme un secteur public très large, des indemnités de licenciement élevées, des syndicats puissants et la migration internationale du travail. La troisième partie simule l'impact d'une diminution du salaire minimum et des cotisations salariales. Les résultats indiquent que ces politiques auraient des répercussions non négligeables à court terme au niveau du chômage des non qualifiés. Toutefois, les résultats montrent aussi que les réformes, pour être efficaces à long terme, doivent être accompagnées par des mesures budgétaires compensatoires afin d'éviter les effets d'éviction sur l'investissement privé.

Traduction en anglais

This paper studies the impact of labor market policies on unemployment in Morocco. It begins by reviewing the main features of the labor market. It then presents a quantitative framework that captures many of these features – such as a large public sector, high redundancy payments, powerful trade unions, and international labor migration. The third part simulates the impact of a cut in the minimum wage and a reduction in payroll taxation. The results indicate that these policies may have a significant impact in the short term on open unskilled unemployment. However, they also show that labor market reforms, to be effective in the long run, may need to be accompanied by offsetting changes in the budget to avoid crowding-out effects on private investment.

merci saad pour les documents, c'est trés interessant 3andk

plus en anglais, c'est parfait.

joli travail

Ahmed Lahlimi.
Le chiffre du taux de chômage,tel qu’estimé par les services de la Direction de la Statistique dépendant du Haut Commissariat au Plan, reste une information officielle incontournable pour étudier tout problème d’emploi et de chômage au Maroc. Et ce, malgré le fait qu’il ne reflète pas la situation difficile qui règne sur le marché du travail et encore moins les difficultés rencontrées par les demandeurs d’emploi en milieu urbain.

Fiabilité

“Les dernières estimations disponibles àce sujet, basées sur les données des trois premiers trimestres de l’année 2003, montrent que taux de chômage serait de 11,8% en 2003 contre 11,6% en 2002”. Voilà, pour lever certaines confusions qui risquent, selon le Haut Commissariat au Plan, d’induire l’opinion publique en erreur. Cette mise au point du département que dirige Ahmed Lahlimi n’avance, par ailleurs, aucun chiffre du chômage en 2004 sous prétexte “qu’il faut attendre l’évolution du marché de travail durant les premiers trimestres pour pouvoir procéder, avec la rigueur requise, aux prévisions des indicateurs d’emploi et de chômage”. En effet, selon les services du Haut Commissariat au Plan, « ces prévisions dépendent de facteurs aussi déterminants que l’évolution des activités agricoles qui, elles-mêmes, dépendent de la pluviométrie pour le restant de la saison (précipitation des mois de février et mars), de l’environnement et du comportement des opérateurs économiques»
Le Haut Commissariat au Plan, dont le souci majeur est la crédibilité des informations économiques et sociales, reste une référence centrale en matière de confection et de production de statistiques nationales. Il dispose, en effet, depuis 1976 d’un dispositif d’enquêtes, d’analyse et de diffusion des informations sur le volume et les caractéristiques de la main-d’œuvre dont la méthodologie repose sur un cadre conceptuel adapté à la réalité marocaine et conforme aux recommandations internationales du Bureau International du Travail (BIT) .
Hormis le recensement de la population, ces enquêtes constituent l’unique source sur l’emploi et le chômage au Maroc et leurs résultats détaillés sont régulièrement publiés selon une périodicité à la fois trimestrielle et annuelle. Selon les services du Haut Commissariat au Plan, « la base de sondage de ces enquêtes sera actualisée à l’occasion du prochain recensement de la population et de l’habitat de 2004».
Ces précisions étant faites, il reste que le chômage est un fléau économique et social difficile à cerner. Indicateur macroéconomique d’utilité publique, il ne doit en aucun cas être sous estimé.
De sa fiabilité dépend la bonne décision publique en matière de réduction des incertitudes dans le domaine de l’emploi. Toutefois cette fiabilité statistique a un coût, et introduire plus de fiabilité prend du temps :modifier une enquête, introduire de nouvelles questions, tester la qualité des résultats. Le décryptage d’un phénomène aussi complexe que le chômage est un investissement nécessaire mais coûteux et long à mettre en place.
De plus , pour aller plus loin dans l’analyse, certains chercheurs considèrent que le nombre de chômeurs n’est qu’un élément parmi d’autres pour analyser le marché du travail. D’autres éléments aussi importants que la proportion de jeunes ou des salariés âgés sans emploi, des temps partiels, des personnes en emploi temporaire ou encore attachés à une société d’intérim entrent en jeu. Au Maroc on est encore loin de ces préoccupations.

Le programme des Diplômés Chômeurs

Le Maroc souffre d’un taux de chômage avoisinant les 22%. Beaucoup de Diplômés Chômeurs ne trouvent pas d’emploi car leur compétence n’est pas en adéquation avec la demande du marché. Toutes les actions privées destinées à aider notre pays à réinsérer les jeunes Diplômés Chômeurs dans la vie professionnelle, sont louables. En effet, le gouvernement ne peut s’atteler à lui seul à résoudre tous les maux dont notre pays souffre. Aussi, la contribution d’organismes privés est souhaitable. Microsoft, leader mondial de logiciels, présent au Maroc depuis 1993, estime qu’elle a un rôle à jouer et se veut une entreprise citoyenne.

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Depuis quelques années, les métiers de l’informatique se développent mais les ressources disponibles ne suffisent pas. Les entreprises sont à la recherche permanente de compétences dans le domaine informatique. Cette pénurie d’informaticiens est une opportunité pour se former aux métiers et aux outils informatiques.
Afin d’offrir aux jeunes diplômés une formation de qualité et en adéquation avec les demandes du marché, Microsoft et ses partenaires se sont associés pour proposer une initiative visant à former gratuitement, de jeunes diplômés à la recherche d’un emploi.
Cette formation technique gratuite en informatique, dans la filière réseau, messagerie et Internet, d’une durée moyenne de 3 mois, validée par un test de certification sur des logiciels Microsoft, permettra aux jeunes diplômés choisis, de postuler un poste d’ingénieur système, d’ingénieur réseau… Cette formation leur permettra de multiplier leurs chances de trouver un emploi dans le domaine informatique mais il ne s’agit en aucun cas d’une garantie d’embauche. Cependant, la deuxième partie de notre programme est de mettre en œuvre différents moyens pour les aider à trouver un emploi (informations sur le site Web de Microsoft, direct mail à notre réseau de revendeurs informatiques, forum de l’emploi…).

Des entreprises privées se sont associées à Microsoft afin de contribuer activement à ce projet de formation des Diplômés Chômeurs :

Le Matin du Sahara, l’un des journaux les plus lus au Maroc a diffusé par 3 fois des annonces à l’attention des jeunes diplômés intéressés par une reconversion vers le domaine informatique.
Bil Consulting, une entreprise spécialisée dans le recrutement et le diagnostic des ressources humaines, a été chargée de la sélection des candidats. C’est également Bil Consulting qui, en collaboration avec Microsoft, mettra en place différentes actions pour essayer de trouver un emploi à ces jeunes diplômés.
2 centres de formation CTEC (Microsoft Certified Technical Education Center) : Ressources Informatique et GSI Maroc, qui sont des centres de formation agréé Microsoft garantissant un haut niveau de qualité pour les formations qu'ils délivrent, ont également été choisis pour apporter à ces jeunes Diplômés Chômeurs, toute leur compétence et leur professionnalisme afin que ce programme soit un succès.
Pourquoi une certification est-elle prévue dans le programme des Diplômés Chômeurs ?

Les certifications Microsoft Certified Professional (MCP) sont très appréciées des entreprises. En effet, la certification MCP est un bon point de repère car elle garantit la compétence de la personne certifiée sur un produit ou une technologie Microsoft. La certification permet de positionner ce collaborateur avec un degré d’expertise cohérent par rapport aux attentes du client. Les entreprises marocaines ont besoin de ressources informatiques confirmées. Aussi, elles apprécient les titulaires de MCP car le succès à ce test par le candidat, permet de mesurer la capacité du postulant à utiliser ses compétences et ses connaissances pour résoudre des problèmes concrets. Aussi, le taux de placement est particulièrement élevé et rapide concernant les informaticiens disposant d’un ou de plusieurs MCP.

Le marché marocain connaît une pénurie d’informaticien disposant de solides connaissances des outils informatiques. Aussi Microsoft a lancé ce programme de Diplômés Chômeurs afin de contribuer à reconvertir de jeunes diplômés issus de divers horizons au domaine informatique. Les 2 organismes de formation agréés Microsoft CTEC, associés à Microsoft dans cette opération, GSI Maroc et Ressources Informatique, sont ravis de contribuer activement à la réinsertion de jeune dans la vie professionnelle.

Selon M.Ouakrim, Directeur Général de Ressources Informatiques, « les certifications Microsoft constituent un vrai plus. Elles permettront aux jeunes diplômés en reconversion de se positionner sur les nouvelles technologies ».

M.El Ibrahimi, Directeur Général de GSI Maroc affirme que « Ce programme Microsoft de formation et de certification des Diplômés Chômeurs a pour objectif de favoriser le retour à l'emploi par le développement de cycles de formation de mise à niveau. Notre rôle ne se limitera pas à former ces jeunes, nous nous emploierons également à les conseiller et à les orienter durant toute la phase de préparation aux tests MCP »

Le programme mis en place par Microsoft en collaboration avec Ressources Informatique et GSI Maroc est constitué des cours suivants :

Notions fondamentales : Mise en réseau
Interconnexion de réseaux TCP/IP
Windows NT Server 4.0 : Support et Administration
En cas de réussite aux 2 tests MCP, les Diplômés Chômeurs se verront proposer une formation complémentaire sur la messagerie ou sur les technologies Internet.

Créé en 1992, le programme MCP (Microsoft Certified Professional) a pour vocation de valider les compétences des professionnels de l’informatique en matière de conception, de développement, de mise en œuvre et de support technique de solutions basées sur les technologies Microsoft. Microsoft a voulu à travers le programme des Diplômés Chômeurs, rendre accessible cette certification MCP aux personnes souhaitant se reconvertir. Leur MCP en poche, les Diplômés Chômeurs auront de solides chances de trouver rapidement un emploi.

La phase de recrutement

Microsoft, leader mondial de logiciels, présente au Maroc depuis 1993, face à la lutte contre le chômage, estime, qu’en tant qu’entreprise citoyenne, elle a un rôle à jouer. Accompagnée de ses partenaires BIL Consulting, les centres de formation Microsoft CTEC, GSI Maroc et Ressources Informatique, et le Matin du Sahara, Microsoft a initié une idée novatrice dans la lutte contre le chômage.

En effet, face au développement des nouveaux métiers liés à l’informatique et à la carence de compétences dans ce domaine, il existe un besoin ponctuel et futur qu’il faut satisfaire. L’idée de Microsoft est donc de fournir à des diplômés chômeurs, issus de différents horizons, la formation adéquate sur les métiers de l’informatique ainsi que les atouts afin qu’ils réussissent leur reconversion.

Microsoft offre aux jeunes diplômés une formation technique gratuite d’une durée d’environ trois mois dans des domaines comme le réseau, la messagerie et l’Internet. Cette formation sera validée par un test de certification MCP (Microsoft Certified Professionnal – test de compétence reconnu mondialement) qui permettra aux jeunes diplômés de postuler à des fonctions d’ingénieur système, réseau… Avec ce programme de formation, les bénéficiaires multiplient leurs chances de trouver un emploi dans le domaine de l’informatique.
Une fois les Diplômés Chômeurs certifiés (soit en possession de leur MCP), Microsoft et Bil Consulting mettront en œuvre une phase d’accompagnement. Différents moyens seront mis en place pour les aider dans leur quête d’emploi (informations sur le site Web de Microsoft, Direct Mail à au réseau de revendeurs de Microsoft, forum de l’emploi).

Pour mener à bien cette opération, Microsoft a compté sur les compétences d’une jeune entreprise en ressources humaines très dynamique : BIL Consulting. Bil Consulting est une entreprise spécialisée dans le recrutement de candidats dans le domaine des nouvelles technologies : ils représentent prés de 40% de ses recrutements. L’association de BIL à cette opération n’est pas fortuite car cette jeune équipe sous l’impulsion de son manager Mme Wassila Kara Ibrahimi, porte un intérêt manifeste aux jeunes demandeurs d’emploi et au développement de nouveaux projets à caractère social.

Mme Ibrahimi et son équipe ont participé à plusieurs manifestations telles le 1er salon de l’étudiant marocain et ont initié avec l’APEBI, le 1er carrefour de l’emploi lors du SIT’EXPO 99. Ceci traduit la volonté de BIL de participer au-delà de son métier de base à des actions à caractère social. Pour ce partenariat avec Microsoft, Mme Ibrahimi a mis en place une équipe composée d’un consultant senior, de deux consultants juniors et d’une assistante qui ont eu la délicate tâche de :

Travailler en amont sur le profil recherché et à définir les critères de sélection
De sélectionner selon ces mêmes critères 250 personnes sur 1500 pour leur faire passer les tests d’aptitude préalables.
De mettre en place l’organisation et la logistique nécessaires au traitement de plus de 1500 CV, à la passation de plus de 500 appels téléphoniques…..
Sur les 250 sélectionnés, 70 candidats au mieux devraient être retenus pour un entretien individuel et sur ces derniers, près d’une cinquantaine seront définitivement retenus pour la formation. « La mise en place de cette opération a nécessité pour BIL CONSULTING deux semaines de travail afin que près de 50 personnes puissent bénéficier gratuitement d’une formation de haut niveau. » souligne Mme Ibrahimi.
C’est la première expérience de Microsoft et de ses partenaires et gageons que si elle est positive, Microsoft renouvellera ce programme l’année prochaine.

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