Un traitement qui réduit les risques de complications
Le diabète sucré se traduit par la présence d'un excès de sucre dans le sang (hyperglycémie). On est diabétique quand on a une glycémie supérieure à 1.26g/l mesurée après 8 heures de jeûne lors de deux mesures différentes. Il existe deux types de diabètes qui sont le diabète insulino-dépendant et celui non insulino-dépendant.
Les malades souffrant de cette pathologie doivent observer un régime alimentaire équilibré et un mode de vie sain. Toutefois un traitement médicamenteux complémentaire est souvent incontournable.
Un traitement disponible
Les injections d'insuline ont constitué jusque-là le traitement classique le plus utilisé. Plus récemment, avec l'évolution des recherches en diabétologie, une nouvelle molécule appartenant à la famille Nouvel espoir pour les diabétiques
Le diabète sucré se traduit par la présence d'un excès de sucre dans le sang (hyperglycémie). On est diabétique quand on a une glycémie supérieure à 1.26g/l mesurée après 8 heures de jeûne lors de deux mesures différentes.
Il existe deux types de diabètes qui sont le diabète insulino-dépendant (type 1) et celui non insulino-dépendant (type 2).
Les malades souffrant de cette pathologie doivent observer un régime alimentaire équilibré et un mode de vie sain.
Toutefois un traitement médicamenteux complémentaire est souvent incontournable.
Les injections d'insuline ont constitué jusque-là le traitement classique le plus utilisé.
Plus récemment, avec l'évolution des recherches en diabétologie, une nouvelle molécule appartenant à la famille des glitazones, le maléate de rosiglitazone (Avandia®) est apparue.
Ce traitement est disponible au Maroc. Selon les responsables du laboratoire Glaxo Smith Kline (GSK), détenteur de la licence de cette molécule, « il réduit, non seulement, l'insulinorésistance au niveau des tissus cibles, mais améliore aussi la fonction des cellules bêta du pancréas, sécrétrices d'insuline, permettant ainsi d'obtenir un contrôle glycémique durable et pouvant prévenir l'évolution du diabète».
Ce traitement permet également de rétablir le fonctionnement normal de l'organisme et de maintenir un équilibre glycémique durable chez des malades qui souffrent d'un diabète non insulino-dépendant.
En agissant de la sorte, ce traitement réduit les risques pour le malade d'être affecté par les complications du diabète dont souffrent quasiment tous les diabètiques.
Elles peuvent aller de la cécité à l'insuffisance rénale passant par le risque de complications cardiovasculaires...
REPÈRES
En 2000, 6% de la population marocaine de 20 ans et plus est atteinte du diabète et 3.5% de la population marocaine serait atteinte du diabète de type 2. En 2010, la prévalence du diabète de type 2 atteindrait les 5%, soit 1,7 million de Marocains qui seront diabétiques de type 2. Sachant qu'au Maroc, seulement 50% des malades sont diagnostiqués, la réalité est encore plus alarmante.
Ministère de la Santé